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Liaison cyclable en bord de Seine, entre Saint Pierre de Manneville et Duclair

Démarche participative ouverte jusqu'au Mardi 31 décembre 2024

Voie Verte

Dans le cadre du Plan Vélo 2035, la Métropole Rouen Normandie souhaite développer le Réseau Interconnecté Vélo en réalisant une voie verte le long de la Seine entre les communes de Saint- Pierre-de-Manneville et Duclair. Cet aménagement d’environ 15 km, ouvert aux piétons et aux cyclistes, viendra compléter la voie verte réalisée en 2016 entre les communes de Val-de-la-Haye et Saint-Pierre-de-Manneville qui connaît un succès grandissant. 

 

Fruit d’une collaboration étroite entre la Métropole Rouen Normandie et les communes concernées, ce projet, qui s’inscrit également dans une dynamique touristique de la Vallée de la Seine, vise à promouvoir le patrimoine local riche de ses diversités : forêts, coteaux, marais, bords de Seine, monuments historiques. 

 

L’intérêt de cet aménagement repose sur un passage de la voie verte en bord de Seine sur le chemin de contre-halage, intérêt renforcé par le fait qu’il n’existe aucun itinéraire alternatif entre Duclair et Saint-Pierre- de-Manneville à l’exception de la route départementale 982 qui ne permet pas une circulation des cyclistes en toute sécurité. Le projet étant situé au cœur du site classé de la vallée de la Seine – Boucle de Roumare, il nécessite la réalisation d’études réglementaires et environnementales visant à appréhender l’impact du projet sur l’environnement ainsi que l’établissement d’une Déclaration d’Utilité Publique (DUP). 

 

 

Le concept de la voie verte

La voie verte est un aménagement en site propre réservé à la circulation non motorisée, elle est destinée principalement aux piétons et aux cyclistes.

Sa mise en place est faite dans un cadre avant tout touristique et de loisirs mais aussi d’amélioration des mobilités actives. Celle-ci doit être accessible au plus grand nombre sans exigence physique particulière et sécurisée en conséquence.

Sa conception demande une intégration harmonieuse et consensuelle des différents types d’usagers, de ce fait elle devra veiller à assurer une bonne compatibilité entre les usagers roulants et marchants.

Les voies vertes peuvent être projetées en milieu rural ou urbain et emprunter les chemins de halages, les voies ferrées désaffectées, les routes forestières, les promenades littorales, les parcs urbains…

Elles sont établies dans le respect de l’environnement, de la culture et du patrimoine.

La voie verte permet d’accueillir plusieurs types d’usagers et pratiques, en effet celle-ci n’est pas seulement limitée à l’usage des vélos et des piétons, elle doit permettre également d’accueillir les rollers, les Personnes à Mobilité Réduite voir les cavaliers.

 

Les piétons

Parmi ce type d’usagers nous pouvons distinguer trois grandes catégories dont les pratiques diffèrent :

  • Les promeneurs représentant l’essentiel des piétons et qui ont une fréquence de pratique élevée, marchant aussi bien en famille que seuls aux abords des noyaux urbains ou de sites touristiques et naturels. Ils parcourent des distances assez faibles et sont à la recherche d’aménagements spécifiques et offrant un confort dans la marche, parce qu’il s’agit de personnes âgées ou bien parce qu’ils sont accompagnés de jeunes enfants ou de poussette.
  • Les randonneurs parcourent quant à eux des distances beaucoup plus importantes, préférant des sentiers en pleine nature. Leur pratique est assez fréquente, principalement le week-end et les vacances sur des sites relativement variés.
  • Les coureurs à pied parcourent quant à eux des distances variées suivant le type de coureur, et de façon assez fréquente.

 

Les cyclistes

Deux usages possibles sont à prendre en compte dans l’aménagement des voies vertes pour les cyclistes : 

  • L’usage en tant que mode de transport et l’usage en loisirs.
  • L’usage en tant que mode de transport se fait principalement pour des déplacements Domicile/Travail.

La pratique de loisirs représente cependant la majorité des utilisateurs du vélo sur ces aménagements, ils effectuent des distances relativement courtes variant de 10 à 40 km et à des vitesses variables, cette pratique pouvant être faite à tout âge.

Les pratiquants itinérants, parcourent principalement des distances moyennes de 45 km par jour. Ils utilisent le vélo comme moyen de transport pour voyager et changeant d’hébergement chaque soir.

 

Les rollers

La pratique du roller augmentant ces dernières années, le patineur peut adopter un comportement se rapprochant du piéton ou du cycliste, variant les distances parcourues suivant l’expérience et la pratique de chaque usager. L’offre d’espaces adaptés à cette pratique est actuellement très limitée et la réalisation de voies vertes contribue à développer de façon considérable la pratique.

 

Les Personnes à Mobilité Réduite

Pour rappel la notion de PMR inclut à la fois : les personnes gênées dans leur déplacement momentanément (Personnes malades ou accidentées, enceintes, accompagnées d’enfant, ...) les personnes gênées durablement (les personnes handicapées, les personnes âgées, …).

Tout comme les pratiquants du roller, les PMR n’ont que très peu d’espaces de pratiques possibles.

Ayant besoin de conditions de circulation spécifiques (pentes en travers et en long réduites, dégagement de tout obstacle), elles sont donc demandeuses de lieux de promenades et de pratiques sportives, que la création de voies vertes peut apporter.

Les enjeux de l’aménagement

L’aménagement d’une voie verte entre Saint Pierre de Manneville et Duclair permettra de relier la voie verte des boucles de Roumare, réalisée en 2016, à Duclair par la Rive Droite de la Seine en traversant les communes de Quevillon, Saint Martin de Boscherville, Hénouville et Saint Pierre de Varengeville.

Cet itinéraire desservirait également le site Touristique de l’Abbaye de Saint Martin de Boscherville.

Les principaux enjeux de cet aménagement sont liés :

  • Au tourisme, 
  • À la mobilité,
  • À l’environnement,
  • Au foncier,
  • À la technicité d’aménagement.

 

 

Enjeux touristiques

L’atout principal de cette piste cyclable d’un point de vue touristique est de rendre l’abbaye Saint Georges de Boscherville accessible à vélo :

  • Possibilité d’excursion à la journée depuis Rouen / La Bouille / Duclair
  • Possibilité de création d’une «véloroute des Abbayes» Pont de l’Arche / Saint Ouen / Boscherville / Jumièges / Saint Wandrille, dont Saint Georges de Boscherville est aujourd’hui le maillon manquant.

D’autres points d’intérêt sont également reliés :

  • Le Manoir de Villers (St Pierre de Manneville)
  • Le château de la Rivière Bourdet (Quevillon)
  • Le château de la Fontaine (Hénouville bas)
  • La base nautique d’Hénouville

Enfin, cette partie du territoire dispose de nombreux hébergements (gîtes et chambres d’hôtes) très qualitatifs :

  • Saint Pierre de Manneville : 4 structures pour une capacité totale de 40 personnes, dont le gîte de groupe du Valnaye labellisé Gîte Panda par le WWF et détenteur de la marque « Valeurs Parc » du PNRBSN
  • Quevillon : 2 structures pour 24 personnes, dont un gîte détenteur de la marque « Valeurs Parc »
  • Saint Martin de Boscherville : 9 structures pour 44 personnes, dont un meublé 4 étoiles dans le Manoir de l’Aumônerie et un gîte « Valeurs Parc »
  • Hénouville : 2 structures pour 18 personnes

 

 

Enjeux de Mobilité

La liaison entre Saint-Pierre-de- Manneville et Duclair reliera les itinéraires n°3 et n°11 du Réseau Express Vélo connectant ainsi les communes traversées aux centralités que sont Duclair et Rouen en empruntant soit la Seine à Vélo sur la rive droite ou l’itinéraire 3 sur la rive gauche.

L’aménagement de la voie verte sur le chemin de contre-halage permettra également de connecter les différents itinéraires du Réseau Interconnecté Vélo tel que la liaison entre Saint-Martin-de-Boscherville et Canteleu notamment.

 

Enjeux environnementaux

Le tracé de la voie verte traverse de nombreux sites à forts enjeux environnementaux.

Ainsi, le projet :

  • Est situé en bord de Seine
  • Est situé au sein du parc naturel régional des Boucles de la Seine Normande ;
  • Traverse plusieurs zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), de type 1 et de type 2.
  • Traverse deux zones Natura 2000.
  • Traverse le site classé de « La vallée de la Seine - Boucle de la Roumare ».
  • Traverse des secteurs fortement prédisposés à la présence de zones humides et, pour partie, des zones humides.

Le projet ayant fait l’objet d’une demande d’examen au cas par cas auprès de la DREAL, celui-ci a été soumis à une étude d’impact et à l’obtention d’une autorisation environnementale.

 

 

Enjeux fonciers

 

Pour des raisons tenant, à la fois, à la sécurité des usagers, à l’entretien et à la protection du domaine public, la circulation sur les chemins de halage et les berges des voies navigables est strictement réglementée.

La servitude de halage et de marchepied permet aux pêcheurs et aux piétons d’utiliser le chemin de halage et la portion de berge faisant partie du domaine public fluvial, dans la mesure où le permet l’exploitation.

Ainsi, il est interdit de circuler à vélo, à cheval ou avec des véhicules motorisés, sauf autorisation individuelle, écrite, précaire et temporaire (article 62 du décret du 6 février 1932 portant règlement général de police des voies de navigation intérieures et articles R4241-68 et suivants du Code des transports).

 

 

La réalisation de la voie verte sur les chemins de halage ou de contre-halage nécessite donc :

  • Une convention de superposition d’affectation auprès d’HAROPA ou le GIP Seine Aval (Gestionnaire du domaine public fluvial) afin d’autoriser la circulation des vélos dans l’emprise de servitude.
  • Une convention de servitude de passage avec les propriétaires fonciers permettant d’établir les modalités de passage et d’entretien de la voie verte.

 

Afin d’appuyer la rédaction de la convention, le projet fera l’objet d’une déclaration d’utilité publique.

La déclaration d’utilité publique du projet permettra également, en cas d’absence d’accord avec les propriétaires des parcelles traversées, d’entamer des procédures d’expropriation. 

 

 

Enjeux Techniques

 

Une voie verte est une voie « multi-usages » en site propre, réservée aux usagers non-motorisés : cyclistes, rollers, piétons, jogger, personnes à mobilité réduite…

Le Code de la Route, article R.110-2, définit : « Voie verte : route exclusivement réservée à la circulation des véhicules non-motorisés, des piétons et des cavaliers ».

Par définition, les voies vertes sont bidirectionnelles et une largeur minimale de 3 m est préconisée.

Principe de la configuration courante

Principe de la configuration le long des quais avec muret

 

Le revêtement préconisé pour la réalisation des voies verte est l’enrobé pour ses caractéristiques suivantes : 

  • Résistant à la circulation des engins d’entretien
  • Confortable pour les usagers
  • Facile d’entretien 
  • Adapté aux zones inondables (matériau inerte)
  • Economique

Voie verte en enrobé – Trans-Ardennescentrales de la concertation.

Le tracé

DUCLAIR & SAINT PIERRE DE VARENGEVILLE

HENOUVILLE

 

SAINT MARTIN DE BOSCHERVILLE

QUEVILLON

SAINT PIERRE DE MANNEVILLE

Agenda de la démarche

Événements passés

Le 19 mars 2024 de 18h00 à 20h00 - Duclair, Saint-Pierre-de-Varengeville

Le 14 mars 2024 de 18h00 à 20h00 - Hénouville, Quevillon, Saint-Martin-de-Boscherville, Saint-Pierre-de-Manneville

Avis et commentaires (3)

Maldeseine

jeu 14/03/2024 - 14:27

Dans l'aménagement de cette nouvelle voie verte, il ne faudra pas oublier les futures ZEC (zones d’expansion de crues) à créer dans cette boucle de Roumare pour épargner les zones densément peuplé.
Faisons confiance au GIP Seine-Aval pour cela...

SOS MDS

Maldeseine

jeu 14/03/2024 - 13:10

Une prolongation de voie verte : SUPER !
Mais regardons déjà ce qui se produit sur celle existante (Hautot-Manneville) !
Les randonneurs ont été exclus de leurs anciens sentiers du chemin de halage. Sérieusement, vous avez déjà fait 10 km de marche soutenue sur du bitume ? Les randonneurs comme nous ont dû partir ailleurs pour éviter les ampoules. Terminé nos beaux points de vue sur ce secteur fluviale.
Terminé aussi la tranquillité des lieux à cause des nombreux véhicules à moteur qui emprunte la voie verte (barrières ouvertes ou vandalisées), de jour comme de nuit : Voitures, motos, quads, pécheurs motorisés avec tentes pour pêche nocturne… Le tout à des vitesses excessives et les déchets abandonnés qui vont avec.
Nous sommes également surpris de voir le tracé de cette nouvelle voie verte passer à coté du trou à « merdes » de Quevillon signalé au grand port de Rouen depuis au moins 15 ans : https://goo.gl/photos/NDbdsDsnjk6xXbvR9
Le grand port va-t-il enfin nettoyer cette ancienne cellule de dépôt de sédiments de dragage qui lui appartient ? Va-t-il profiter de cette zone d’accumulation préférentielle de macrodéchets plastiques pour adapter cette zone d’expansion de crue à un nettoyage pérenne par le marché public du département ? https://www.seinemaritime.fr/mon-cadre-de-vie/environnement/dechets.html (Titulaire actuel : Naturaul’un https://www.naturaulun.fr/entretien-espaces-naturels )
Il faut profiter de cette zone d’accumulation que le fleuve nous offre pour empêcher que ces plastiques atteignent la Mer ! Naturellement, si ce lieu infâme restait dans l’état, ce serait un danger pour le public (seringues, déchets dangereux ou nocifs, …).
À noter que ce lieu infâme est ou a été loué pour la chasse au gibier d’eau… ! Un autre énorme risque pour le public de cette voie verte ! Un petit arrêté d’interdiction de la chasse serait le bienvenu à proximité.
Continuons sur les déchets plastiques du pauvre fleuve…
Quid du micro-piège à macrodéchets d’Hénouville ? Il semble bien mal en point. https://goo.gl/photos/KKd3JGzZNSR4xN1C9
Quid des rives « naturelles » d’Hénouville anthropisées par le grand port de Rouen à grand coup de bétons industriels ferraillés ?
Quid du marais de la Caboterie régulièrement inondé d’eau et de plastiques ? https://goo.gl/photos/DeyTUgUrJEJ8b2h4A
Il va falloir augmenter ou fractionner le marché public des déchets fluviaux piloté par le département ? L’entreprise de réinsertion Naturaul’un, titulaire du marché, ne pourra pas gérer autant de linéaires pollués depuis leur atelier de Gravenchon ? Ça commence à faire beaucoup de gasoil pour récupérer tous ces déchets plastiques provenant en grande partie de l’Ile-de-France !

Restons dans les déchets, il faudra adapter les poubelles et ne pas mettre n’importe quoi comme on peut le voir à travers toute la Métropole. Elles doivent être fixes, résistantes, grandes, avec une large ouverture, avec un couvercle automatique… Pourquoi ? Parce que tous les animaux sont devenus opportunistes et qu’il suffit d’une bonne odeur pour que la poubelle soit pillée, vidée de son contenu… VIDÉO : https://youtu.be/ZUm1FrdhKfE?si=tZelSYp63I-Elqt4
Voici de nombreux (mauvais) exemples : https://photos.app.goo.gl/92wcfj29TNmghbN97
Il faudra bien étudier le sujet sinon le contenu des poubelles finira dans la Seine ou dans le milieu naturel (surtout si la rotation d’enlèvement des ordures est inadaptée).
Notre plus bel exemple de poubelle adaptée et ludique rencontré : https://photos.app.goo.gl/rU9eF9tDDSyAuEGk9
À défaut, celles-ci conviendraient aux nombreux restes de pique-niques des beaux jours (comme s’il existait un fonctionnaire derrière chaque poubelle ! Revenez avec vos déchets !) : https://photos.app.goo.gl/aGrNdP9hmSFX8jzT6 Elles empêcheront peut-être les débordements mais pas ceux qui ne veulent pas se salir les doigts sur le couvercle ni le vandalisme (jetées en Seine https://photos.app.goo.gl/mf87wmYJXpp7nQod9 ou brulées ).
Alors nous préconisons ce système de poubelles mais adapté au tri sélectif :
https://photos.app.goo.gl/sEAGkQqXxhMTgFDW6
Une autre incivilité rencontrée sur nos chemins de halage : les chiens laissés en liberté, sans laisse, dans ces milieux naturels ou en contact avec le public, les enfants, les personnes âgées, les vélos, ... Rappel :
https://www.onf.fr/onf/+/96::promener-mon-chien-sans-laisse-foret-peux-…
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F35062
Nous espérons fortement que les ouvrages limiteront drastiquement l’utilisation de géosynthétiques (plastiques), le grand port de Rouen a déjà largement pollué nos espaces fluviaux (à ce jour, environ 30 tonnes de géosynthétiques plastiques étalés entre Rouen et la Mer) :
https://photos.app.goo.gl/h4FV52QCeEop3Mjr5
https://photos.app.goo.gl/mSBvG1Sm6LVBKB4q6
https://photos.app.goo.gl/hztoQiM9zB41E8MNA
https://photos.app.goo.gl/B8kpQfRWu6eRypy27
Le rapport du Ministère de la transition écologique sur les géosynthétiques : « Alors que les géosynthétiques contribuent à une plastification massive et quasiment invisible de l’environnement, à travers un enfouissement discret, certaines pratiques doivent aujourd’hui être réglementées au regard de leurs conséquences irréversibles pour l’environnement et la santé globale, sachant notamment qu’elles peuvent être remplacées par des techniques traditionnelles reposant sur des savoirs faires anciens et ne s’appuyant pas sur les plastiques. » https://www.expedition-med.org/wp-content/uploads/2023/10/CFO-Rapport-e…

Pour conclure, cette nouvelle portion de voie verte ne devrait donc pas être aussi large en bitume que les autres mais adaptée pour tous : marcheurs, randonneurs, vélos et véhicules d’entretien ou de secours.
Une largeur de 2m bitumée est suffisante avec deux largeurs enherbées de 1m de par et d’autre.
Moins de bitume ! C’est du développement durable !
C’est une voie verte en zone naturelle : elle doit le rester !
Sinon ce sera à nouveau un trop grand boulevard urbain pour vélos au cœur de nos campagnes et de zones naturelles protégées classées (PNRBSN, NATURA 2000, ZNIEFF, …)
Association SOS Mal de Seine
sosmaldeseine@gmail.com

Même si par facilté et tolérance des accès ont été créés sur le tracé de la future voie verte, alors que les parcelles sont déjà désenclavées par ailleurs, la circulation des véhicules automobiles devrait être interdite sur la voie verte pour éviter des collisions, notamment avec les cyclistes : actuellement la circulation des véhicules automobiles ne permet pas aux piétons, peu nombreux, de cheminer paisiblement.

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Vos contacts

Simon PARMENTIER
Chargé d’Opérations
Département Espaces Publics et Mobilités Durables Direction Investissement et Ouvrages d’art

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