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Date : Jeudi 1er juillet 2021 - 14:53
Auteur : ASSOCIATION BOUILLONS TERRES D' AVENIR 12 rue Dumont Durville 76 000 Rouen
Objet : Modification N° 2 du PLUI
Votre contribution : Monsieur le Commissaire Enquêteur. L'association Bouillons terres d'Avenir est une association métropolitaine qui oeuvre au maintien des terres naturelles agricoles et forestières menacées d'urbanisation. Elle défend aussi une agriculture paysanne de proximité et de qualité .Une contribution est déposée pour chacune des 5 enquêtes publiques et est disponible sur le site Bouillons Terres d'Avenir
Pièce jointe
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Date : Jeudi 1er juillet 2021 - 10:30
Auteur : Anonyme - Rouen
Objet : Demande de protection patrimoniale sur ensemble bâti rue Théophile MEUNIER – ROUEN
Votre contribution : La rue Théophile MEUNIER est bordée par des maisons individuelles qualitatives que la Ville de Rouen a souhaité accompagner en agrandissant le zonage UBA1 jusqu’à la moitié de l’ilot. Ce secteur est également marqué par la présence d’un immeuble déjà protégé au PLUi, au n°13.
Face à cet immeuble, un ensemble bâti industriel de la fin du XIXème, début XXème présente une composition architecturale et des matériaux qualitatifs (moellons calcaires, moellons silex, briques…) témoins de l’essor industriel local, et qui justifient l’inscription d’une protection patrimoniale. Il est composé d’une maison individuelle (au n°12 - HZ 123) et de 2 bâtiments industriels accolés longeant la rue Théophile MEUNIER (situés sur la parcelle HZ 536). Ces bâtiments, de par leur structuration et leur modénature, semblent compatibles avec un éventuel projet de réhabilitation, voire de changement de destination.
Cette protection permettrait également de s’inscrire dans les objectifs de préservation du tissu urbain caractéristique du secteur, en cohérence avec les règles de hauteurs et le changement de zonage proposé dans la modification n°2.
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Date : Mercredi 30 juin 2021 - 16:40
Auteur : Anonyme - Rouen
Objet : Demande de protection patrimoniale sur ensemble bâti rue Théophile MEUNIER – ROUEN
Votre contribution : La rue Théophile MEUNIER est bordée par des maisons individuelles qualitatives que la Ville de Rouen a souhaité accompagner en agrandissant le zonage UBA1 jusqu’à la moitié de l’ilot. Ce secteur est également marqué par la présence d’un immeuble déjà protégé au PLUi, au n°13.
Face à cet immeuble, un ensemble bâti industriel de la fin du XIXème, début XXème présente une composition architecturale et des matériaux qualitatifs (moellons calcaires, moellons silex, briques…) témoins de l’essor industriel local, et qui justifient l’inscription d’une protection patrimoniale. Il est composé d’une maison individuelle (au n°12 - sur la parcelle HZ 123) et de 2 bâtiments industriels accolés longeant la rue (parcelle HZ 536). Ces bâtiments, de par leur structuration et leur modénature, semblent compatibles avec un éventuel projet de réhabilitation, voire de changement de destination.
Cette protection permettrait également de s’inscrire dans les objectifs de préservation du tissu urbain caractéristique du secteur, en cohérence avec les règles de hauteurs et le changement de zonage proposé dans la modification n°2.
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Date : Mercredi 30 juin 2021 - 15:30
Auteur : Ville de Rouen - Rouen
Objet : Rue d'Ernemont - correction de périmètre de Parc/Coeur d'Ilot
Votre contribution : La protection du patrimoine végétal concernant la parcelle CR 190 adressée au 5 rue d'Ernemont nécessite d'être ajustée pour correspondre à l'occupation réelle du sol. Une extension de la protection vers le Nord permettrait de préserver l'espace planté en verger visible sur la photo aérienne (pj). D'autre part, le zonage actuel impacte un terrain de sport non végétalisé. L' extension de cette protection permettrait de relier les autres protections de cœur d'ilots adjacentes, et de mieux garantir l'effet de maillage écologique recherché par la règle.
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Date : Mardi 29 juin 2021 - 14:37
Auteur : Anonyme
Objet : sacralisation d'un jardin route de Darnétal
Votre contribution :
Depuis une bonne dizaine d'années, la route de Darnétal est la proie des promoteurs immobiliers et un nombre insensé de résidences se sont construites et continuent de se construire rendant cette artère rouennaise de plus en plus étouffante et saturée au mépris de la qualité de vie de ses habitants. Construction après construction, et malgré les quelques places de parkings dans les dites résidences, des dizaines de voitures viennent envahir cette route qui ne comprend que deux voies, rendant le stationnant de plus en plus compliqué tout comme la circulation qui se densifie au mêle rythme que l'habitat. Cette route sert également au TEOR N°2&3, et devient très vite saturée et invivable. Il s'agirait aujourd'hui de prendre la globalité de cette voie en compte et de ne plus la considérer comme un petit boulevard de l'Europe bis et d'arrêter de la surdensifier. Elle accueille aussi de nombreuses petites maisons qu'il convient de prendre en compte également. Pour rappel, le boulevard de l'Europe a été construit de toute pièce et est riche de 2X3 voies, contrairement à la route de Darnétal qui existe depuis des siècles ! Cela entraine des problèmes de circulation/stationnement/Vivre ensemble.
Aujourd'hui, au milieu de ces immeubles nombreux et pas très beaux, subsiste un merveilleux jardin privé situé à l'angle de la route de Darnétal, de l'impasse Dohet et limitrophe du parc de la résidence Bonvoisin et de l'église St-Hilaire qui est classée (plan du jardin joint). Il s'agirait, pour conserver une certaine qualité de vie dans ce secteur de Rouen devenu étouffant voire anxiogène par la densité d'immeubles accueillis malgré sa topologie, de conserver ce jardin exceptionnel (en trame verte ?) qui non seulement abrite un potager mais est aussi garant d'un corridor de biodiversité pour la faune et la fore urbaine rouennaise et représente un vrai poumon vert pour le quartier. Au vu de son emplacement, de sa beauté et de sa superficie, ce serait un massacre si un promoteur mettait la main dessus pour y construire l'immeuble de trop route de Darnétal. Par cette présente contribution, je souhaiterai que ce jardin soit sacralisé pour ne jamais être bétonné. En vous remerciant par avance pour l'attention portée à ma demande
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Date : Mardi 29 juin 2021 - 10:19
Auteur : Anonyme
Objet : Jardin magnifique route de Darnétal
Votre contribution :
Depuis une bonne dizaine d'années, la route de Darnétal est la proie des promoteurs immobiliers et un nombre insensé de résidences se sont construites et continuent de se construire rendant cette artère rouennaise de plus en plus étouffante et saturée au mépris de la qualité de vie de ses habitants. Construction après construction, des dizaines de voitures viennent envahir cette route qui ne comprend que deux voies, servant notamment au TEOR N°2&3, et devient très vite saturée et invivable. Il s'agirait aujourd'hui de prendre la globalité de cette voie en compte et de ne plus la considérer comme un petit boulevard de l'Europe bis et la surdensifier. Le boulevard de l'Europe a été construit de toute pièce et est riche de 2X3 voies, contrairement à la route de Darnétal qui existe depuis des siècles ! Cela entraine des problèmes de circulation/stationnement/Vivre ensemble.
Aujourd'hui, au milieu de ces immeubles nombreux et pas très beaux, subsiste un merveilleux jardin privé situé à l'angle de la route de Darnétal, de l'impasse Dohet et limitrophe du parc de la résidence Bonvoisin et de l'église St-Hilaire qui est classée (plan du jardin joint). Il s'agirait, pour conserver une certaine qualité de vie dans ce secteur de Rouen devenu étouffant voire anxiogène par la densité d'immeubles accueillis malgré sa topologie, de conserver ce jardin exceptionnel (en trame verte ?) qui non seulement abrite un potager mais est aussi garant d'un corridor de biodiversité pour la faune et la fore urbaine rouennaise et représente un vrai poumon vert pour le quartier. Au vu de son emplacement, de sa beauté et de sa superficie, ce serait un massacre si un promoteur mettait la main dessus pour y construire l'immeuble de trop route de Darnétal. Par cette présente contribution, je souhaiterai que ce jardin soit sacralisé pou ne jamais être bétonné.
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Date : Dimanche 27 juin 2021 - 18:00
Auteur : Anonyme - ROUEN
Objet : Protection patrimoine bâti
Votre contribution :
Bonjour.
L'ancien foyer Sainte-Marie, au 2 rue de Joyeuse, possède un bâtiment, le long de l'impasse des Flandres et à l'angle de la rue de Joyeuse, à soubassement en brique côté rue et impasse, avec même, côté impasse, un premier niveau de fenêtres aveugles cintrées en brique auxquelles correspondent côté jardin des embrasures en pierre de taille. L'élévation est en pans de bois sous l'enduit grisâtre qui la recouvre. Cette aile du couvent date du XIXe siècle, avec remplois du XVIIIe siècle. Elle mérite d'être protégée pour deux raisons : 1) son appareillage mixte est une signature typique de l'architecture conventuelle telle qu'elle s'est déployée dans le quartier Saint-Nicaise au XIXe siècle (autres exemples au foyer Saint-Joseph, rue de la Cage, et au monastère des bénédictines, rue Bourg-l'Abbé) ; 2) elle abrite un théâtre de poche dont c'est l'unique exemplaire encore en état à Rouen.
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Date : Dimanche 27 juin 2021 - 15:38
Auteur : Pierre-Yann DAVID - ROUEN
Objet : Demande d’abrogation de la disposition introduite le 13 février 2020 limitant la hauteur de construction à 3.5m en limite séparative
Votre contribution : Le nouveau Plan Local d’Urbanisme de la Métropole Rouen Normandie approuvé le 13 février 2020 a introduit dans le Règlement écrit « Livre 1 : Dispositions communes » une nouvelle disposition relative aux constructions en limite séparative (p38) : « Cas de la hauteur des constructions sur les limites séparatives au-delà de la bande de constructibilité renforcée dans les zones UBB1, UBB2, UBH, UCO, UD et au sein des autres zones : Les constructions peuvent s’implanter sur les limites séparatives : si leur hauteur au point le plus haut n’excède pas 3,5 m au droit de la limite séparative et si leur gabarit reste compris à l’intérieur d’un angle de 45° au-delà des 3,5 m »
Cette nouvelle disposition introduite dans le nouveau PLU du 13 février 2020 est contraire aux engagements de la Métropole de Rouen Normandie vis-à-vis de la lutte contre le dérèglement climatique et la préservation des terres agricoles pour les raisons suivantes :
- Cette disposition réduit de façon drastique toute possibilité de rajout d’un étage pour le bâti disposant déjà d’un rez-de-chaussée. Au mieux cette disposition va donc obliger les propriétaires devant agrandir leur habitat, à agrandir en rez-de-chaussée et va conduire à un étalement urbain engendrant une nouvelle consommation d’espaces non encore imperméabilisés. Au pire, cette disposition va pousser les propriétaires à construire dans la périphérie des centres urbains et va engendrer une nouvelle consommation d’espaces agricoles.
- Cette disposition est donc contraire aux engagements de la Métropole de Rouen formalisés dans « L'Accord de Rouen pour le Climat » (http://www.notrecop21.fr/laccord-de-rouen-pour-le-climat). En effet la Métropole Rouen Normandie s'est engagée dans la dynamique internationale pour contenir la hausse des températures en deçà de 2°C, en définissant une politique « Climat - Air - Énergie » ambitieuse. Elle a ainsi lancé sa COP21 locale, amenant à l’Accord de Rouen (https://www.metropole-rouen-normandie.fr/cop21-de-la-metropole).
- Le « GIEC local » mis en place par la Métropole de Rouen Normandie indique en effet que les résultats des modèles simulant l’impact du changement climatique concluent en effet à une baisse importante de la recharge de ces aquifères (cf. page 10 de la Brochure du « GIEC Local » sur l’eau : https://www.metropole-rouen-normandie.fr/sites/default/files/publication/2019/Brochure_GIEC_eau.pdf ).
Ainsi l’étalement urbain engendrant une nouvelle consommation d’espaces non encore imperméabilisés va donc aggraver la baisse des niveaux de nappes phréatique et donc les réserves d’eau potable pour l’avenir.
Ainsi nous demandons que dans le cadre de la présente "Modification du PLU de la Métropole Rouen Normandie" la disposition introduite le 13 février 2020 limitant la hauteur de construction à 3.5m soit abrogée et que le nouveau PLU se concentre sur le bâti existant et permette la réalisation d’un 1ier étage lorsqu’un rez-de-chaussée existe déjà.
Pièce jointe
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Date : Samedi 26 juin 2021 - 09:33
Auteur : Patrick Defoilhoux - ROUEN
Objet : protection du site
Votre contribution : Sauvegaarder ce jardin !
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Date : Vendredi 25 juin 2021 - 16:26
Auteur : Anonyme - Rouen
Objet : Signalement de jardins urbains monastiques à basculer en "cœur d'îlot"
Votre contribution :
Nous souhaiterions attirer votre attention sur l'absence de protection sur les jardins du monastères des bénédictines, au 14 rue Bourg-l'Abbé (Rouen, 76000), dans le quartier Saint-Nicaise (lot 186 du cadastre, section LM, zone UAA). Le monastère, encore en activité, abrite deux jardins claustraux paysagers et un jardin-verger vivrier. Par leur qualité et leur ancienneté, et en tant que dernier témoignage du genre à Rouen, ils méritent, selon nous, d'être sanctuarisés en "cœur d'îlot" et d'intégrer la trame verte et bleue.
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Date : Vendredi 18 juin 2021 - 15:00
Auteur : Anonyme - Rouen
Objet : protection Arbre 6 rue Marquis
Votre contribution :
La notice explicative mentionne p 31-32, l'ajout d'une protection de patrimoine naturel sur l'arbre inclus dans la propriété du 06 rue Marquis. Cet arbre a été abattu il y a plusieurs mois. Il n'y a donc plus lieu d'ajouter une protection.
