Mobilités: ça bouge !

Démarche participative ouverte jusqu'au Mercredi 31 décembre 2025

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Mobilités ça bouge : le programme

Emmener ses enfants à l’école à pied, enfourcher son vélo pour se balader en bords de Seine, prendre sa voiture pour aller au travail, ou le bus pour faire du shopping en centre-ville, envoyer ou recevoir ses colis, ses marchandises… Tous, au quotidien, nous utilisons des moyens de déplacement divers et variés pour bouger au sein de la Métropole. Mais si, aujourd’hui, nous avons nos petites habitudes, comment bougerons-nous demain ?

La Métropole a élaboré avec tous les acteurs du territoire son Plan de Mobilité (PDM) qui définit la politique de mobilité sur son territoire à l'horizon 2035. Elle organise dorénavant sa déclinaison opérationnelle avec deux axes prioritaires : 

  • L'évolution du réseau de transport en commun urbain structurant à l'horizon 2035 : la ligne F1 et le TEOR (T1, T2, T3)
  • Le développement de mobilités collectives en zone peu dense

Vous souhaitez faire bouger les lignes ? Répondez au questionnaire et intégrez le panel ! 

J'intègre le panel

Septembre 2025 : La concertation "Mobilités, ça bouge : le programme !"

La Métropole lance à partir du 5 septembre  une concertation sur des scénarios possibles pour l'évolution des lignes F1, TEOR (T1, T2, T3) et la mobilité dans les zones périphériques et rurales.

Du 5 au 30 septembre 2025, vous pouvez candidater pour intégrer un panel de citoyens volontaires chargés de formaliser un avis citoyen sur ces projets. Vous souhaitez faire bouger les lignes ? Répondez au questionnaire et candidatez pour intégrer le panel ! 

J'intègre le panel

Une réunion publique d'information s'est déroulée au 108, siège de la Métropole, le jeudi 25 septembre 2025 à 18h00

Le Plan de Mobilité (PDM) 2035

Après une belle année de concertation et une année de temps d'élaboration des différentes composantes du Plan de mobilité (diagnostic, stratégie, plan d'action, évaluation environnementale, annexe accessibilité), il a été finalisé et proposé aux vote des élus métropolitains lors du Conseil du 25 septembre 2024.  

* Si vous souhaitez consulter le Plan de mobilité (PDM) complet et tous les documents qui le composent, cliquez ici

Je consulte la synthèse du Plan De Mobilité 2035

Mai 2022 à avril 2024 : la concertation pour l’élaboration du PDM   

Chacun, au quotidien, peut faire évoluer ses comportements et se tourner vers des mobilités plus actives, plus douces et plus respectueuses de l’environnement. Pour penser les mobilités de demain et agir dès maintenant, la Métropole a souhaité engager un large débat citoyen sur les mobilités des biens et des personnes.

Cette démarche avait pour objectif :  

  • de planifier à long terme les transformations via le Plan des Mobilités (PDM) et le développement de l’usage des mobilités actives (vélo, marche à pied…) ;
  • d’améliorer et développer le réseau de transports en commun de la Métropole, ainsi que le service de transport à la demande ;
  • de participer à la mise en œuvre des engagements de la COP21 en produisant des transports propres et en définissant des Zones à Faibles Émissions ;
  • d’adapter l’aménagement du territoire en fonction des transports et permettre à chacun de pouvoir disposer d’un moyen de déplacement à proximité pour des trajets de courte ou de plus longue durée ;
  • de favoriser l’innovation en matière de mobilité (nouvelles motorisations, mobilité intelligente, mobilité décarbonée, partagée ou apaisée, nouveaux usages, services numériques…).

Elle s’est étendu, pour sa première phase, de mai à juillet 2022. S’en est suivi une phase effective d'élaboration de chaque document composant le PDM pour vote d'un projet de PDM fin 2023. Il est temps à présent d'engager une deuxième phase de concertation réglementaire jusqu’à l’adoption du PDM fin 2024. Cette enquête publique aura lieu du 25 mars au 26 avril 2024.

Au programme : des questionnaires en ligne, des rencontres de proximité, la création d’un comité citoyen, la désignation d’ambassadeurs des mobilités, la création d’un panel citoyen innovation, des ateliers participatifs et des forums sur les mobilités. Cette démarche de participation et de coconstruction citoyenne, ponctuée de plusieurs étapes, a été menée du 3 mai 2021 au 7 juillet 2022

Je prends connaissance du bilan de la concertation

 

Je prends connaissance de la synthèse du PDM

Mars 2024 à avril 2024 : l'enquête publique sur le PDM

Le projet de PDM a été soumis à Enquête Publique du 25 Mars au 26 Avril 2024 (Téléchargez l'avis d'enquête publique et l'arrêté). A la suite de cette procédure d'enquête publique, le projet de PDM a été approuvé en conseil métropolitain le 30 septembre 2024.

En savoir plus sur la mobilité dans la Métropole

La Métropole met à votre disposition une série de données et documents concernant la mobilité, elles sont à votre disposition en visionnage et/ou en téléchargement:

 

Avis et commentaires (33)

MARTIN

dim 14/11/2021 - 17:28

Bonjour,
pratiquant assidument le vélo pour mes loisirs sur toutes les routes de la région et principalement du plateau Est, je trouve que la plus dangereuse est la D95 entre Franqueville St Pierre et Ymare et plus particulièrement la section entre Franqueville et le croisement vers St Aubin Celloville car il n'y a aucune alternative possible sans faire un détour important.
Cette route vient d'être refaite récemment sans qu'aucun aménagement sécurisé ne soit mis en place pour les vélos et les piétons alors que le PDU 2014 la classe en "distribution" et que normalement on ne devrait y voir que des PL faisant une desserte fine. Vu le nombre de containers qui la prennent , cela est loin d'être le cas... elle sert de route de transit entre la D6014 et l'A13. Dernièrement, j'ai du attendre 15 mn pour pouvoir tourner à gauche en sécurité tant la circulation est importante et la vitesse excessive. Et ceci , en étant obligé de monter sur le talus vu la faible largeur de la route et la vitesse des PL.
Comme la métropole ne financera pas le contournement Est, je propose qu'elle utilise une partie du budget économisé pour enfin réaliser les aménagements sécurisés prévus dans le PDU 2014 sur cette route et dissuader la circulation de transit des PL.

Anonyme (non vérifié)

dim 31/10/2021 - 19:37

Bonjour Monsieur Anne,
Tout d'abord, les gens qui vont au travail à vélo ne sont pas des bobos. Ce sont des gens qui ont compris que c'était le moyen de transport le plus économe en occupation d'espace et le plus rapide en agglomération. Il faudrait un minimum arrêter de caricaturer cette population. En suite, vous réclamez le contournement Est pour fluidifier la circulation automobile. En tant que spécialiste en urbanisme transports et environnement, nous avons une expérience des contournements de ce type. Non, cela ne fluidifie pas la circulation bien au contraire. Cela augmente le trafic automobile et l'usage individuel, dont l'occupation d'espace à cause du trafic induit. Les études sont toutes concordantes sur ce point. Donc la congestion va être pire après le contournement et votre temps de trajet va exploser à terme. Sur les vêtements, des millions de cadres en Europe et en France utilisent le vélo jusque des distances assez importantes. Ils sont équipés pour cela et savent s'organiser y compris avec les intempéries. Ce n'est pas un problème. Moi-même je l'ai fait pendant mon activité dans mes rendez-vous commerciaux et techniques. Si vous ne connaissez pas les bons équipements, les associations sont là pour vous aider. Quand aux dénivelés: aujourd'hui, le vélo à assistance électrique gomme tous les dénivelés. Une fois rétabli la réalité des faits, quelles sont les solutions pour vous. Si vous voulez aller à Paris en train à partir de Franqueville saint-Pierre, vous pouvez acheter un vélo à assistance électrique haut de gamme pour 2500 euros, par exemple un kalkhoff moteur Bosch performance avec boîte de vitesse dans le moyeu arrière. Votre temps de parcours sera au maximum de 40mn pour aller à la gare, porte à porte, moins à l'aller, 40mn au retour . Vous prenez le train avec votre vélo et vous avez à Paris un réseau de pistes cyclables hyper performant. A raison de 34km par jour minimum, vous allez avoir un gain en santé et en coût énorme. Nous avons dans les associations des personnes qui travaillent au centre de Rouen et qui viennent de Saint-Aubin Celoville, encore plus loin que vous. Si vous tentez l'expérience, vous pourrez arbitrer majoritairement sur le vélo et un peu sur votre voiture si vraiment les conditions sont trop mauvaises. Vous pourrez demander à votre employeur de vous verser l'indemnité kilométrique vélo cumulable avec le train. Vous ne serez plus dépendant de la voiture. L'autre alternative est d'aller avec votre voiture sur Cergy et de prendre le RER A. Vous pouvez amortir le trajet en covoiturant sur bla-bla-car. Le coût est plus élevé cependant. En tout cas, la solution à votre problème n'est sûrement pas dans le contournement qui coûte 1 milliard pour détourner 6% du trafic constitué des poids lourds internationaux avec des impacts environnementaux désastreux cités ici par les services de l'état eux-mêmes.
http://www.cgedd.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/160203_-_Contour…

Olivier ANNE

jeu 21/10/2021 - 16:29

Non! les habitants de la Métropole ne sont pas tous des "bobos à vélo" qui ne se déplacent que dans la ville-centre !
Pour ma part je voyage tous les jours (sauf confinement et télétravail) entre l'extrémité du plateau Est et Paris via, ma voiture personnelle (pas de bus réguliers dans ma commune pourtant membre de la Métropole), puis train de Rouen à Paris (j'ai donc ma dose quotidienne de transports en commun !). Et sens retour chaque soir.
Alors pourquoi je souhaite prendre ma voiture: parce que:
1) il n'y a pas de bus dans ma commune,
2) Il n'y a pas de bus assez tôt le matin ou tard le soir pour répondre à mon besoin (qui n'est pas régulier)
3) le bus n'est pas assez rapide pour rejoindre la gare (1h00 minimum entre Franqueville St Pierre et la Gare de Rouen en comptant les correspondances)
4) Je ne peux pas faire les 17km entre mon domicile et la gare de Rouen en vélo (et encore moins en trottinette) avec mon petit costume (mauvais temps, profil de l'itinéraire etc...)
5) le matin avant de travailler et le soir après une journée de boulot j'ai envie de calme, de propreté et donc le cocon que m'offre mon véhicule personnel est le seul capable de répondre à mon besoin
En conclusion, je ne souhaite pas utiliser les transports en commun et la seule solution viable est de fluidifier la circulation au sein de l'agglomération en construisant enfin le contournement Est de l'agglo pour décongestionner la circulation et également en aménageant des zones de dépassement sur les grands axes de circulation afin de ne pas se retrouver tous à bouchonner derrière les plus lents.

Pierre

mer 13/10/2021 - 23:18

Il est absolument nécessaire de faciliter et d'inciter fortement l'usage de mode de déplacements alternatif à l'automobile.
L'automobile est source de pollution et d'insécurité. Elle occupe un espace faramineux par rapport au service qu'elle rend. Elle transporte en moyenne 1.1 personnes et occupe l'espace de son stationnement (souvent sur l'espace public, quand ce n'est pas sur les trottoirs ou les pistes cyclables) pendant plus de 95% du temps.
Pour inciter les alternatives, il faut qu'elles soient concurrentielles au niveau du service qu'elles offrent. Celà peut se faire en dégradant le service offert à l'automobile, mais aussi en améliorant le service des alternatives (confort, efficacité, disponibilité). Cela vaut pour les transport en commun et les mobilités douces (marche, vélo, EDP...).
En rendant plus attractifs les transports en communs, on risque d'atteindre rapidement la saturation de leur capacité (la rançon du succès). Cette saturation est déjà observée sur le T1 Campus, T2 Vallée du Cailly, T3 Canteleu, pour ce que j'en connais, et l'augmentation des fréquences a ses limites et ne pourra pas tout absorber.
Reste l'incitation à l'usage des mobilités douces. Et sur ce chantier, il reste beaucoup à faire. Trop peu d'aménagements cyclables efficaces, trop de trottoirs encombrés. Comptez qu'il faut parfois attendre une phase de feux à chacune des 6 traversées de voie nécessaire pour passer de l'arrêt T4 Bd Belges aux quais alors qu'en une seule phase de feu, une automobile aura traversé le carrefour.
Cyclistes et piétons en viennent à s'invectiver mutuellement car ils sont rejetés sur le même maigre espace. La circulation à vélo est certes interdite sur les trottoirs, mais lorsqu'on voit les conditions de circulation, si on ne l'excuse pas, on la comprend.

Floflo

lun 23/08/2021 - 13:59

Bonjour
Je me déplace tous les jours en transport et à vélo en agglomération. Je pense qu'il manque des paramètres importants à la consultation, notamment :
- le confort : quand on mesure 1m90, on a vraiment pas envie de s'assoir dans un bus (ex: le F4) et d'attendre 30min d'arriver au Docks, pour ensuite changer et être debout dans un TEOR bondé, puis de reprendre le métro pour arriver dans le centre de Rouen (~1h de transport avec deux changement)
- la compétitivité : plusieurs paramètres sont visibles sur la consultation, mais nous ne notons l'échelle. Si je reprends l'exemple ci-dessus, un train met 10min pour faire la même chose (il existe mais peu d'offre), celui-ci est beaucoup (beaucoup) plus compétitif que le bus en ce qui concerne le temps de trajet (mais pas que!), un niveau de 1 à 4 aurait été plus probante par exemple.
- le multimodale : très mal développé car les offres de transports différents en fonction de son appartenance (région, département, métropole) et que le stockage de vélo est compliqué (et impossible quand il s’agit de vélo cargo)

J’en profite pour dire que l’offre de transport doit être plus pragmatique, j’en note quelques exemples au quotidien :
- le train c’est beaucoup moins polluant, beaucoup plus confortable, beaucoup plus rapide que le bus et pourtant il y en a peu. On peut par exemple comparer les offres dans les gares de l’agglomération versus les gares à l’extérieur pour s’apercevoir que l’offre n’est pas du tout en adéquation avec le nombre d’habitants (et donc de prospect). Il y a un existe nombre de voie ferrée disponible dans l’agglo
- trop d’arrêt de bus pour permettre l’accessibilité engendre un temps de parcours très peu compétitif, il manque cruellement de transport en commun rapide (compétitif face à la voiture)
- il faudrait rendre OBLIGATOIRE l’accessibilité au vélo dès qu’une route est réfectionnée. C’est dommage de voir des routes complètes réalisées quand on connait la problématique d’y ajouter des pistes cyclables par la suite
- Les transports en commun de la région (NOMAD), du département et de la métropole doivent éditer ensemble un plan de transport (le bus 29, F4 et le train ont un parcours similaire)

Pour finir je trouve ça dommageable qu’aucune voie expresse réservée aux vélos soit prévue dans la Vallée du Cailly (la voie verte n’a pas la même vocation), il serait intéressant que l’avenue de Dieppe soit aménagée pour les piétons et vélos (elle est très large cette avenue et ça roule trop vite)

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Vos contacts

Julien DANIEL et Clément CONTANT
Responsables de projet
Direction Laboratoire Territoire et Mobilités

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